COMMENT MESURER LA VITALITE DES ALIMENTS

C’est une question que l’on m’a posé cette semaine. Et je vais vous dire d’abord qu’il n’est pas vraiment nécessaire de mesurer les aliments pour savoir si ils ont de la vitalité ou pas. Mais voici quelques moyens pour les évaluer et avec cela je vous donne aussi des méthodes très simples pour augmenter leur vitalité.

L’échelle Bovis

Une méthode pour mesurer la vitalité est d’utiliser un biomètre Bovis. Cependant cela implique d’avoir des notions de radiesthésie c’est à dire d’utiliser soit une antenne de Lecher, ou un pendule par exemple.

Tout démarre avec Alfred Bovis qui créé dans les années 1930 Le Biomètre. Cette règle graduée permet de mesurer la radiation ou radiovitalité des êtres vivants, aliments, substances diverses.

C’est  André Simoneton qui a contribué grandement à faire connaître par ses travaux le Biomètre et la « radiovitalité » des aliment. Dans son ouvrage Radiation des aliments, il nous dit que les hommes en bonne santé ont une longueur d’onde comprise entre 6200 et 7000 angströms, quant aux malades ils sont en dessous de 6500 angströms. A savoir que les ondes d’une personne peuvent fluctuer en fonction de la radiation des aliments et de l’environnement.
Ainsi Simoneton a mesuré toutes sortes d’aliments, médicaments, boissons pour déterminer leur vitalité. De là il a établi un rapport entre les aliments que l’on mange et l’augmentation ou la baisse de la vitalité de l’homme.

L’échelle originale se présentait comme une règle horizontale graduée de 0 à 10000 angströms.
Voici les indications de Bovis :

  • 0 à 3000 : aliments à éviter
  • 3000 à 6500 : insuffisant mais utile
  • 7500 à 9000 : indispensable à la vie

=>Mais la manière la plus simple de mesurer la vitalité d’un aliment est d’évaluer tout simplement  son état à savoir si il est vivant (graines germées, pousses) ou encore fraîchement cueilli ( il s’agit donc de trouver un maraîcher bio de confiance).

Le classement des aliments de Szekely

Dr E. Szekely (1905, 1979) archéologue, philologue, découvrit au début du siècle dans les archives du Vatican, des manuscrits traitant des Esseniens. Ce peuple était connu pour avoir un mode de vie sain et une alimentation vivante. A partir de ses recherches, il détermina un classement des aliments en quatre catégories selon leur vitalité, qui rejoint totalement l’enseignement des naturopathes.

Aliments biogéniques

25% conseillé

Aliments bioactifs

50% conseillé

Aliments biostatiques

25% conseillé

Aliments biocidiques
Générateurs de vie ce sont les aliments vivants, en germination Entretiennent la vie, ce sont les aliments frais N’entretiennent pas la vie Contre la vie
Graines germées (céréales, légumineuses, oléagineux), jeunes pousses vertes, Noix capables de germer

Fruits et légumes bruts, frais et crus

On peut y ajouter Oléagineux réhydratés (noisettes, amandes…), fruits séchés trempés (abricots, figues…)

Aliments qui ne sont plus frais, conservés trop longtemps au frigo,  aliments cuits Aliments ultra-transformés,  dénaturés, très cuits, conserves, additifs

 

Donc c’est aussi simple que ça, dans vitalité il y a « vie » plus l’aliments est frais et proche de son état naturel, plus il est porteur de vitalité.
Cette règle est valable aussi pour les aliments d’origine animale : caillés crus, fromage au lait cru type crottin, oeufs frais bio… que Szekely conseille également. Notez qu’il n’est pas figé dans une alimentation 100% vivante, puisqu’il ne la conseille qu’à hauteur de 25%.
>>retrouvez ce sujet ici

Comment augmenter la vitalité des aliments ?

Même si vos aliments ne sont pas fraîchement récoltés, leur vitalité peut être augmentée par des moyens simples :

salade de pastèque, différents melons, menthe fraîche, au soleil…

>Mettre les aliments au soleil quelques instants : fruits, carafe d’eau, salade de crudité,..
Mieux : manger au soleil

>Faire tremper graines, fruits déshydratés, noix etc.. : on y pense peu mais la réhydratation augmente l’activité enzymatique et réveille les produits déshydratés.

>Ajouter des aliments hautement vitalisants systématiquement dans l’assiette : un peu de graines germée, des fines herbes fraîche (persil, coriandre…), des arômates (oignon, ail…), un filet de jus de citron frais…

>Dynamiser les liquides : en créant un vortex (tourbillon) dans une carafe d’eau (avec une eau non polluée), ou en secouant quelques instants un flacon contenant un liquide (compléments alimentaires par exemple). L’eau se dynamise aussi en mettant quelques gouttes de jus citron frais, ou quelques gouttes de Quinton, ampoule d’eau de mer ( attention, très peu, l’eau ne doit pas devenir salée…).

Là j’ai mis une pierre mais on fait pareil avec les aliments !

>Déposer les aliments sur une fleur de vie : vous avez probablement entendu parler de la fleur de vie. Elle génère une information qui élève le taux vibratoire de tout ce que l’on place à son contact. Saviez-vous d’ailleurs que certaines marques bio (alimentaires, compléments…) en disposent à la façon d’un logo sur leurs étiquettes pour dynamiser le produit contenu ?

Pour vous la procurer vous pouvez simplement l’imprimer (mais le papier au contact des aliments c’est pas génial), ou encore aller sur les salons bios où il existe de nombreux modèles faits en bois, verre, métal etc… Vu le contexte actuel vous pouvez bien sûr vous les procurer sur internet.

Mettez au centre de votre Fleur de vie une carafe d’eau, ou un aliment, laissez-le se charger quelques minutes.

>L’état intérieur : vous savez que la meilleure nourriture vous intoxiquera si vous êtes stressé. A l’inverse un repas mangé dans la détente et la bonne humeur vous sera bénéfique.

« Ce n’est pas en mangeant beaucoup que vous serez en meilleure santé. Manger beaucoup est au contraire très nuisible. C’est la qualité des aliments qui est importante, mais avant tout, la façon de manger. Même si vous réduisez vos repas, vous pouvez puiser davantage d’énergies si vous avez appris à absorber la nourriture avec amour et conscience. Si pendant les repas vous arrivez à dégager votre pensée, à fixer votre attention sur la nourriture pour la pénétrer des rayons de l’amour, une séparation se fait entre la matière et l’énergie : la matière se désagrège, tandis que l’énergie entre en vous et vous pouvez en disposer.  Si l’homme savait vraiment manger, quelques bouchées à peine pourraient lui suffire… Il en retirerait assez d’énergies pour remuer tout l’univers. » Aivanohv

En conclusion, plus un aliment est brut, frais, c’est à dire fraîchement récolté ou cueilli, plus il a de vitalité, c’est aussi simple que ça !

Bibliographie

  • La vie biogénique E.Szekely
  • L’énergie du cru Kenton
  • Radiation des aliments Simoneton

Ces conseils ne remplacent pas l’avis d’un professionnel de santé.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.